Un désir de fuir pour vivre
- Récit de 118 pages
- Format : 6 x 9 pouces
- 28 photographies noir et blanc
- Couverture couleur, reliure souple
- ISBN 978-2-89634-364-5
Après avoir vécu ma petite enfance à la Tombelle, me retrouvant éloigné de mon nid de douceur, je rends hommage à celles et ceux qui m’ont protégé de ma difficile survie en ville, où j’ai appris à me développer dans la pire des intempéries de la vie. Un passage obligé qui m’a aidé à m’envoler et m’épanouir dans un lointain ailleurs que je ne regrette pas.
J’étais un enfant ayant vieilli avant son temps, obsédé par l’idée de partir et de fuir pour ne plus revenir. Maintes fois, je suis sorti de ma zone de confort par besoin, par défi, toujours avec une dose de petite folie aventurière. Un projet n’attendait pas l’autre pour me prouver régulièrement que « j’avance ». Guidé par une certaine qualité d’intelligence intuitive réelle accompagnée de réflexions existentielles, je suis finalement arrivé à vivre selon les valeurs de dignité et de respect de l’autre.
Lors de la parution du livre Une rage de vivre sur fond de guerre, en avril 2015, je voulais principalement faire connaître l’œuvre de mon père adoptif, Georges Auguet. Je n’ai donc pas jugé bon d’y inclure tout ce qui était enfoui dans ma mémoire, à ce moment-là. Avec cette seconde publication, Un désir de fuir pour vivre, je présente mon cheminement de vie parsemé de coïncidences, de hasards, enrubannés d’aléas, de circonstances et de chances, enfin, tout ce qui balisait le parcours atypique du p’tit Polack. Voilà quelques tranches hétéroclites de ma vie que j’ai tenté d’écrire et de décrire dans ce bouquin.
- Auguet, DanielAutre(s) oeuvre(s) de l'auteur
Daniel Auguet est né en France en avril 1939, au mauvais moment, dans un contexte de guerre. Grâce à sa mère et ses grands-parents, il n’est pas dirigé à l’orphelinat. Le 10 juin 1964, à la fin de ses études en France, l’adulte qu’est devenu Daniel Auguet émigre au Québec pour parfaire ses connaissances en administration et relations de travail. Par la suite, il travaille pendant 30 ans comme coordonnateur de projets et dessins à Zone Est Québec, la Manicouagan et par la suite à l’IREQ.
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