Les os parleurs

Auteur
39,95 $
  • Ouvrage de 212 pages
  • Format : 8 x 9 pouces
  • Environ 102 photographies couleur des œuvres du sculpteur
  • Couverture couleur, reliure souple
  • ISBN 978-2-89634-408-6

Alain Landry est né à Pointe-Parent (Natashquan) en 1956. Il a vécu pendant plusieurs années à Sept-Îles où il commence à sculpter le bois dans les années 1990. Mais c’est de retour dans son village natal, en 1997, qu’il s’y adonne sérieusement. C’est là qu’il sera fasciné par les possibilités que lui offrent les os de lièvres. Après avoir étudié attentivement les os de l’animal, il décide de les utiliser et de leur offrir une place de choix, une signification spécifique.

Dès lors, il se consacre à créer des sujets de la vie quotidienne : du chanteur au traîneau à chien, du bûcheron au personnage faisant sécher de la morue, du joueur de violon au pêcheur… Il a aussi une fascination pour la forêt, les grands espaces. Sa fonction d’agent de conservation de la faune l’amène à parcourir les vastes contrées de sa région.

Les sculptures d’Alain Landry se veulent un portrait de son enfance, une sorte de reconnaissance aussi vis-à-vis de ses parents et d’autres personnes qui lui ont appris la vie. Comme il aime à le répéter, les contes, les anecdotes et les souvenirs ont façonné sa personne.

Il a choisi les os de lièvres, car il voulait sculpter avec une matière que personne n’avait utilisée pour ça. D’où une originalité que d’aucuns reconnaîtront. D’où un talent incontestable pour rendre vivants des personnages qui prennent vie, si l’on peut dire, à l’aide d’os de lièvres. D’où l’idée brillante de présenter ses sculptures de manière à raconter son enfance avec fantaisie et humour à travers des personnages, des activités, des gestes de la vie quotidienne.

Les œuvres d’Alain Landry sont uniques en leur genre; elles ont fait l’objet de plusieurs expositions.

  • Landry, Alain

    Alain Landry est né à Pointe-Parent (Natashquan) en 1956. Il a vécu pendant plusieurs années à Sept-Îles où il commence à sculpter le bois dans les années 1990. Mais c’est de retour dans son village natal, en 1997, qu’il s’y adonne sérieusement. C’est là qu’il sera fasciné par les possibilités que lui offrent les os de lièvres. Après avoir étudié attentivement les os de l’animal, il décide de les utiliser et de leur offrir une place de choix, une signification spécifique.

    Dès lors, il se consacre à créer des sujets de la vie quotidienne : du chanteur au traîneau à chien, du bûcheron au personnage faisant sécher de la morue, du joueur de violon au pêcheur… Il a aussi une fascination pour la forêt, les grands espaces. Sa fonction d’agent de conservation de la faune l’amène à parcourir les vastes contrées de sa région.

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