Les familles Bélanger et Dionne : une histoire d'amour à Beauport
- Essai de 168 pages
- Format : 8,125 x 9,5 pouces
- Environ 250 photographies noir et blanc
- Couverture couleur, reliure souple
- ISBN 978-2-89634-427-7
J’aime les petites histoires. Ce qualificatif n’est pas négatif, car pour moi tout ce qui est petit est charmant. Comme le disait Sylvain Lelièvre, un de mes poètes préférés : «J’aime les choses inutiles, les bonheurs tranquilles qui ne coûtent rien… les photos où l’on fait des milles… la joie de Lucille quand naissent les fleurs…»
Lucille, c’est ma belle-mère, elle était belle et charmante. Toujours rieuse et un brin moqueuse, elle était douée pour le bonheur. Clovis, mon beau-père, a travaillé pendant 34 ans au bureau de poste de Québec. Il a été et demeure toujours un excellent jardinier, un homme très cultivé avec qui il est toujours plaisant de discuter. Lucille et Clovis respectaient les valeurs de leurs aînés : la bonté, l’accueil, le travail, la persévérance et le courage. Ils ont été éduqués dans la foi, mais étaient épris de liberté. Ils étaient jeunes, beaux, sportifs et voulaient, comme tous les jeunes de toutes les époques, contribuer à l’évolution de leur société.
Ce livre raconte leur histoire et aussi celles des Bélanger et des Dionne, à Beauport. C’est principalement par la photographie qu’elle se raconte, ponctuée ici et là par les témoignages touchant de Clovis qui est aujourd’hui centenaire.
Je suis persuadée que ces petites histoires ont contribué aux grandes et que celles-ci illustrent bien la vie des Québécois et des Québécoises au 20e siècle.
Louise Michaud
- Michaud, LouiseAutre(s) oeuvre(s) de l'auteur
Louise Michaud est née à Beauport en 1958. En 1981, elle termine un baccalauréat en communication graphique à l’Université Laval puis travaille pendant quelques années comme graphiste pigiste. En 2000, elle ouvre L’art du dessin, un commerce situé rue Maguire, à Québec, où elle anime des ateliers de dessin et de peinture. En 2007, elle expose une série de peintures inspirées des photographies de son grand-père, Jean-Charles Michaud, sous le titre Kamouraska la mémoire des eaux. De 2008 à 2010, elle suit des ateliers d’écriture et de poésie à L’Université Laval. Elle participe à diverses expositions collectives, dont la biennale Livres d’artistes au Portage, en 2016, où elle remporte le premier prix. En 2017, elle expose à la Maison natale Louis Fréchette, un lieu historique des plus inspirant. La poésie de cet écrivain illustre et les gens qui travaillent à sauvegarder sa mémoire lui donnent l’idée d’une exposition des photographies de son grand-père Jean-Charles Michaud, puis de ce livre. Elle vit depuis une dizaine d’années à Saint-Denis-De La Bouteillerie, dans Kamouraska, près du fleuve et de la maison natale de Jean-Baptiste Michaud, son arrière-arrière-grand-père.
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