Les pilotes du Saint-Laurent, 1762-1960. L’organisation du pilotage en aval du havre de Québec

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44,95 $
  • Ouvrage de 862 pages
  • Format : 7 x 9 pouces
  • Couverture couleur, reliure souple
  • Incluant un cahier couleur de 8 pages regroupant 15 illustrations
  • ISBN 978-2-922668-58-2

La navigation océanique sur le Saint-Laurent s’est développée d’abord en aval de Québec. Le parcours fluvial, de l’île du Bic à Québec, a posé le problème d’organiser le pilotage pour la sécurité des navires, des hommes et des marchandises destinées au port de Québec. Voie de navigation difficile, sa fréquentation par les navires océaniques a toujours été confiée à des marins au savoir particulier : les pilotes « pour le havre de Québec et en aval ». Ces hardis marins, « hommes de la sonde », avaient la connaissance des eaux locales pour indiquer les directions de navigation aux capitaines des navires européens peu familiers à la remonte du Grand Fleuve, avec les chenaux, courants, marées et écueils qui le parsèment. Fort bien documentée, cette étude de l’organisation du pilotage, de 1762 à 1960, est une contribution à l’histoire du Saint-Laurent, et à celle des gens du fleuve qui en assurent toujours la protection.

  • Leclerc, Jean

    Jean Leclerc est titulaire d’un doctorat en histoire de l’Université Laval. Il est spécialiste de l’histoire du pilotage sur le fleuve Saint-Laurent. Outre l’imposant ouvrage Les pilotes du Saint-Laurent, 1762-1960 paru aux Éditions GID en 2004, il a aussi publié Le Saint-Laurent et ses pilotes, 1805-1860 (1990) et Les pilotes du Saint-Laurent de Québec à Montréal au XIXe siècle (1996), De plus il est le coauteur du livre Pilotes : le pilotage au temps de la voile et des avirons, publié à Douarnenez, en France (2001).

    Autre(s) oeuvre(s) de l'auteur
Un petit chef-d'œuvre —
G.D., août 2017
«Je suis en train de lire le livre concernant Les Pilotes du Saint-Laurent 1762-1960. Mais quel petit chef d’oeuvre - je suis fascinée. Il fait bien comprendre les risques associés au métier et fait bien ressortir le long savoir faire derrière ce métier. Vraiment, je “déguste” – 8 sur l’échelle de Beaufort ! Merci pour ces moments de plaisir !»

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